Pourtant nous avons quelque peu hésité avant de nous lancer dans ces recherches du fait que les registres paroissiaux déposés aux Archives Départementales ne débutent qu’en 1730. Fort heureusement les liasses de notaires déposées concernant Séreilhac sont très riches et nous ont permis de remonter quelques générations supplémentaires jusqu’au XVII^ème siècle. Il est cependant certain qu’au milieu de tous ces actes notariés certaines informations ont pu nous échapper : dans un acte difficile à lire, dans une quittance apparemment anodine…Mais nous avons décidé de publier le fruit de nos recherches afin d’établir une base que chacun d’entre vous pourra par la suite confirmer, compléter ou même contredire en fonction de ses propres découvertes. En effet la reconstitution des premiers degrés de ces études n’est pas toujours établie à partir d’un contrat de mariage filiatif mais grâce à des éléments recoupés qui laissent cependant toujours planer un doute. Et c’est là que réside tout le secret de notre passion : trouver les documents, les informations qui vont permettre de confirmer, de découvrir une nouvelle génération, de progresser alors que l’on pensait être au bout de nos découvertes. Combien de journées passées penché sur un lecteur de microfilm, sur des liasses de notaire ou autres documents de même nature, combien de soirées passées à relire notes et photocopies et à faire recoupements, ébauches et hypothèses avant de trouver la solution !

Tous ceux qui s’adonnent à ces recherches connaissent bien ces longs moments de recherches infructueuses, mais ils savent aussi quel plaisir énorme on peut ressentir lorsque l’on fait une découverte le plus souvent au moment où l’on ne s’y attend plus. Venez donc découvrir en notre compagnie les familles Barnabé, Beyli, Carreau, Desnoyers, Labidoire, Laroudie, Pacherie, Ribeix, et Robert.

Nous rappelons que les travaux présentés dans cette publication sont le fruit des recherches personnelles des auteurs. A ce titre, ils ne sauraient être utilisés à des fins autres que privées à l’exclusion de toute diffusion sur Internet ou de toute autre manière sans autorisation préalable des auteurs et sous réserve que soient indiqués clairement les noms des auteurs et la source, en vertu de la loi sur la propriété littéraire et artistique (lois n°57-298 du 11/03/1957 et n°92-597 du 01/07/1992).