La généalogie ascendante

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Etablir une ascendance : “faire son arbre”

La méthode est simple, à partir de la personne dont on veut établir l’ascendance, soi-même en général, il s’agit de remonter aux parents, puis aux grands-parents, aux parents de ces derniers, et ainsi de suite, de génération en génération.

Chaque ancêtre ayant un couple de parents, l’éventail ascendant des ancêtres ainsi formé a naturellement généré l’image d’un arbre.

Pour reconstituer progressivement son arbre généalogique, on utilisera en priorité les actes de mariage, qui donnent généralement des renseignements sur les époux mais aussi sur leurs parents. Une fois les parents identifiés, il suffira de retrouver leur propre mariage pour remonter à la génération suivante, et ainsi de suite. Lorsque ces actes font défaut ou que les parents n’y sont pas mentionnés, on aura recours aux baptêmes, aux sépultures, aux contrats de mariage, et à tous les autres actes disponibles pouvant permettre de poursuivre sa quête d’ancêtres.

Numéroter ses ancêtres : une nécessité

Chacun de nous a, en principe, deux parents, quatre grands-parents, huit arrière-grands-parents, etc. Suivant cette théorie, le nombre de nos ancêtres double à chaque nouvelle génération. Il apparaît donc très vite nécessaire de pouvoir se repérer facilement dans la « foule » de ses propres ancêtres. Le meilleur moyen est de leur attribuer à chacun un numéro. La numérotation des ancêtres la plus généralement employée est celle dite de « Sosa-Stradonitz », inventée en 1676 par l’Espagnol De Sosa, reprise en 1898 par l’Allemand Von Stradonitz. Son principe est simple, il consiste à attribuer le numéro 1 à la personne dont on établit l’ascendance (le de cujus), le numéro 2 à son père, le numéro 3 à sa mère, le numéro 4 au père du père, le numéro 5 à la mère du père, etc.

Dans cette numérotation, les hommes portent ainsi toujours un numéro pair (à l’exception du de cujus lorsque celui-ci est un homme), et les femmes portent toujours un numéro impair. Un père a donc toujours un nombre égal au double de celui de son fils ou de sa fille, et à la moitié de celui de son propre père. Une mère porte toujours un nombre égal au double + 1 de celui de son fils ou de sa fille. Une épouse porte toujours un numéro égal à celui de son époux + 1.

Pour plus de détails sur les méthodes en généalogie, consultez :

La généalogie 

La généalogie descendante

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Publié par AGL   @   8 janvier 2012 0 commentaires

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